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Recherche par auteur : Aubert, Jean-François

3 résultats.

Lu par : Marie Désert
Durée : 3h. 40min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 79397
Résumé:En vacances dans ses montagnes natales, la lieutenante Cécile Carnoux se lance à la recherche d'une femme disparue, arpentant le territoire tout en interrogeant les habitants de son petit village.
Lu par : Marie Tabard
Durée : 1h. 59min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 36263
Résumé:Kevin, 11 ans, ne comprend pas pourquoi il existe et décide de mettre fin à ses jours. Il raconte les épisodes marquants de son existence avant de passer à l'acte. Après sa tentative de suicide, il se retrouve dans une institution pour enfants en difficulté. Il commence alors une nouvelle vie et fait une rencontre décisive. Etienne, factotum, lui apprend l'ébénisterie. Premier roman.
Lu par : Alain Guillaume
Durée : 19h. 46min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 24358
Résumé:Rien ne prédisposait Jean-Baptiste Colbert, né en 1619, à une carrière politique : il aurait dû prendre la succession de son père Nicolas, riche marchand drapier originaire de Reims, qui vend ses marchandises dans toute l'Europe. Et pourtant. A vingt-quatre ans, Jean-Baptiste entre comme commis au service du puissant Le Tellier, secrétaire d'Etat à la Guerre de Richelieu. A trente-deux ans, il est l'intendant privé de la fortune de Mazarin qui gouverne la France pendant la minorité de Louis XIV. Dix ans plus tard, il est le plus proche conseiller de Louis XIV qui le fait entrer au Conseil d'en-haut comme ministre d'Etat, le nomme surintendant des Bâtiments (1664), contrôleur général des Finances (1665). A sa mort en 1683, seules la Guerre et les Affaires étrangères lui auront échappé, encore s'en sera-t-il occupé en sous-main, se faisant de solides inimitiés avec les titulaires de ces postes, Louvois en particulier. Et pendant plus de vingt ans, il aura incarné l'Etat aux côtés du Roi-Soleil. On connaît l'image consensuelle et convenue de Colbert telle qu'elle a été complaisamment forgée et véhiculée par les historiens de la IIIe République : le ministre mesuré, austère, intègre, pragmatique, serviteur jusqu'au sacrifice personnel de son roi, de l'Etat, du royaume. Au fil de ces pages, celui que Mme de Sévigné appelait "le Nord", craignant "la glace qui l'attendait" juste avant d'entrer en audience avec lui, apparaît tel qu'en lui-même : prêt à tout pour conquérir puis conserver le pouvoir, d'une rare violence devant les obstacles, retors, machiavélique et manipulateur - les épisodes de sa lutte contre Fouquet, le surintendant des Finances qu'il finira par abattre, sont là pour le démontrer -, ne pensant qu'à placer les membres de sa famille aux plus hauts postes et à accroître sa fortune par tous les moyens, même frauduleux.